info sécu

mardi 29 novembre 2011

Fraude en entreprise : les chiffres de la délinquance en col blanc


34% des entreprises dans le monde se disent victimes de fraude. Un phénomène qui atteint 46% des sociétés en France après avoir enregistré une forte hausse depuis 2009. Etat des lieux. 72% des fraudes sont des détournements d'actifs 23% de cyberfraudes 

> http://lexpansion.lexpress.fr/entreprise/les-chiffres-noirs-de-la-fraude-en-entreprise_272781.html 

> http://lexpansion.lexpress.fr/entreprise/grand-menage-chez-ubs-apres-la-fraude-geante_264487.html

 > http://lexpansion.lexpress.fr/entreprise/le-fraudeur-type-en-entreprise-est-tres-apprecie-de-sa-hierarchie_208250.html

Un voyageur transportait un obus dans son sac




La sécurité de l’aéroport de Castres qui scannait les bagages a vu - stupéfaite - apparaître sur son écran de contrôle, un obus. Le propriétaire n’avait pas un esprit vindicatif. C’était un collectionneur qui souhaitait ramener l’objet désarmé chez lui.



Un voyageur transportait un obus dans son sac
A l’aéroport de Castres, un agent de sécurité qui scannait les bagages enregistrés a eu la surprise de voir apparaître un obus sur l’écran de l’appareil à rayons X. Le sac suspect a alors été inspecté avec la plus grande précaution et les doutes se sont confirmés : il s’agissait bien d’un obus de mortier. La gendarmerie est partie à la recherche du propriétaire. Le passager si bien armé était en fait un militaire collectionneur qui voulait ramener chez lui l’engin de plusieurs kilos. Les gendarmes lui ont rappelé que le transport en avion de telles armes demandait une déclaration au préalable même si elles étaient démilitarisées. Le voyageur est ensuite reparti, mais sans son obus. Il lui a été confisqué pour être envoyé aux services de déminage .

Données délinquance CÔTES-D'ARMOR

Quelle est l'agglomération où l'on déclare le plus de cambriolages ? Le plus d'agressions ? Le plus de vols de voitures ? Où policiers et gendarmes sont-ils le plus présents ? Voici, à partir de calculs réalisés par nos soins, la première photographie (2010) de la délinquance en Bretagne.


http://www.letelegramme.com/ig/generales/regions/cotesarmor/delinquance-premiere-photographie-regionale-29-11-2011-1516364.php


http://www.letelegramme.com/ig/generales/regions/bretagne/delinquance-douze-villes-a-la-loupe-08-09-2011-1422300.php

samedi 26 novembre 2011

Arrêté du 20/10/11 portant interdiction de maintien en service d’extincteurs fabriqués par la société ISOGARD


Arrêté du 20/10/11 portant interdiction de maintien en service
d’extincteurs
(JO n° 259 du 8 novembre 2011)
NOR : DEVP1128137A
Vus
La ministre de l’écologie, du développement durable, des transports et du logement,
Vu le décret n° 99-1046 du 13 décembre 1999 modifié relatif aux équipements sous pression, et notamment son
article 28 ;
Vu l’arrêté ministériel du 15 mars 2000 modifié relatif à l’exploitation des équipements sous pression ;
Vu l’avis en date du 4 octobre 2011 de la Commission centrale des appareils à pression,
Arrête :
Article 1er de l’arrêté du 20 octobre 2011
Sont soumis aux dispositions du présent arrêté les extincteurs répondant cumulativement à l’ensemble des
caractéristiques listées ci-après :
- fabriqués par la société ISOGARD (10, rue Blaise-Pascal, 69680 Chassieu, téléphone : 04-72-47-20-20) ;
- au dioxyde de carbone (CO2
) de 2 kg et 5 kg ;
- dont le corps sans collerette est en alliage d’aluminium et comprend la mention M 25 sur l’ogive ;
- équipés de vannes de la marque commerciale SIAN et portant le marquage CE 0036 ou CE 0062 ;
- portant une estampille sur le corps de la bouteille de couleur grise.
Les autres extincteurs fabriqués par la société ISOGARD ne sont pas concernés par le présent arrêté.


jeudi 24 novembre 2011

33 000 cyber-infractions


En France, 33 000 cyber-infractions ont représenté 1,7 milliard d'euros en 2010
Il y a eu plus de 33 000 infractions par Internet en France en 2010, pour une valeur évaluée à 1,7 milliard d'euros, constate un rapport annuel de l'Observatoire national de la délinquance et des réponses pénales. La cybercriminalité mêle des escroqueries et abus de confiance (80% des infractions), des atteintes aux systèmes d'information et de traitement automatisé des données ou encore des atteintes à la dignité et à la personnalité. Même si les fraudes sur les paiements à distance (62% du montant global) sont de plus en plus fréquentes, «seulement» 23% des personnes interrogées se déclarent inquiètes lorsqu'elles utilisent leur carte bancaire pour un achat en ligne.

Sécurité privée : 2012, l'année de tous les dangers



Boulogne-Billancourt / Lyon, le 23 novembre 2011. “Une année noire”. Le marché de la sécurité privée devrait connaître, selon la plupart de ses acteurs, une crise sans précédent en 2012. « Plusieurs prestataires - et non des moindres - ont adressé un courrier à leurs clients aussi bien privés que publics pour leur annoncer une hausse unilatérale de leurs prix », indique Philippe Reynaud, directeur de Factea Security, cabinet de conseil spécialisé dans l’optimisation des achats de prestations de sécurité-surveillance. Une démarche évidemment mal perçue par la plupart des donneurs d’ordres, qui doivent eux-mêmes faire face à des pressions économiques importantes. « Dans ce bras de fer, certains prestataires se disent prêts à aller au clash et laisser leurs futurs ex-clients rompre leur contrat comme cela est possible en cas de changements importants des conditions contractuelles et commerciales », précise Philippe Reynaud.

En effet, à compter du 1er janvier 2012, les entreprises de sécurité privée devront reverser 0,5 % de leur chiffre d’affaires au CNAPS (Conseil national des activités privées de sécurité) pour financer les activités de ce dernier. Un pourcentage qu’elles vont répercuter intégralement à leurs clients. Parallèlement à cela, les prestataires de sécurité privée devront également appliquer - à compter de la même date - une hausse de 2 % des rémunérations de leurs agents tels que le prévoit un accord de branche. Ajouté à cela les premiers effets des réformes gouvernementales sur les exonérations de charges sur les bas salaires ou la modification de la loi Tepa sur le régime des charges sociales liées aux heures supplémentaires, sans parler d’autres hausses de taxes diverses et variées (transport, carburant, formation, mutuelle, etc.), les entreprises de sécurité privée pourraient subir l’année prochaine une hausse de plus de 5 % de leurs charges. Un pourcentage à mettre en perspective avec la marge moyenne des prestataires sur ce marché, estimée par leurs instances représentatives à “seulement” 1 %.

Selon Philippe Reynaud, cette situation résulte dans un certain nombre de cas « à des pratiques achats basées depuis plusieurs années sur la massification, dans un contexte de forte concurrence, qui conduit les prestataires de sécurité à rogner sur leurs marges et à ne plus pouvoir faire face aujourd’hui à l’augmentation de leurs charges, qu’elles soient spécifiques à leur métier ou non. » Des exemples parmi d’autres : la standardisation des cahiers des charges qui ne permet pas toujours de prendre en compte les spécificités de chaque site (ancienneté, salaires, formations…), mais aussi et surtout une gestion des prestations par des responsables “terrain” qui, se sentant dépossédé du pouvoir de décision, s’impliquent trop dans le fonctionnement des équipes du prestataire sans se soucier des conséquences financières (demande de qualifications supérieures, remplacement au pied-levé d’un agent qui ne convient pas pour des raisons subjectives, etc.…) « De telles pratiques dénaturent le modèle économique de la prestation telle qu’il avait été calculé initialement par l’entreprise de sécurité privée lors d’un appel d’offres, ce qui impacte lourdement ses marges », avertit Philippe Reynaud. 

Face à cette situation qui semble inextricable, le directeur de Factea Security estime qu’il existe des solutions. « Les prestataires de sécurité ont des alternatives. Il faut savoir les écouter, discuter avec eux et nouer des partenariats pour anticiper les évolutions de ce marché, préconise Philippe Reynaud. Les donneurs d’ordres doivent négocier sur des bases qui correspondent véritablement aux besoins de chaque site et, en cas de demandes spécifiques, être prêts à en payer le surcoût. » Quelques bonnes pratiques qui rappellent que les vraies économies sont faites sur le long terme, en prenant en considération la réalité économique des marchés fournisseurs.


Contact presse Factea
Sébastien de Boisfleury
Responsable communication
Fixe : 01 49 10 65 34
Mail : sdeboisfleury@factea.com

mercredi 23 novembre 2011

Chiffres des violences & crimes conjugaux 2010



En 2010, 174 personnes, 146 femmes et 28 hommes, sont décédés, victimes de leur conjoint(e) ou ex-conjoint(e), selon le rapport sur la criminalité 2011 publié mardi par l'Observatoire national de la délinquance et des réponses pénales (ONDRP).


http://tempsreel.nouvelobs.com/societe/20111122.FAP8194/rapport-sur-la-criminalite-augmentation-des-meurtres-entre-conjoints.html

mardi 22 novembre 2011

Insolite : une alarme incendie dans grottes bouddhistes

Le système d'alarme incendie dans les grottes de Mogao, qui renferment des fresques et des sculptures bouddhistes datant de plus de 1 000 ans, a été amélioré.






L'Académie de Dunhuang a dépensé près de 20 millions de yuans (3,14 millions de dollars) dans l'installation d'un système d'alarme automatique et d'auto-extinction dans le centre d'exposition et le dépôt de textes bouddhistes des grottes de Mogao à Dunhuang, a précisé mardi Yuan Yinglong, le commissaire des incendies de la ville de Dunhuang dans la province du Gansu (nord-ouest).

Par ailleurs, 120 bouches souterraines et robinets d'incendie armés ont été installés près des grottes qui sont inscrites sur la liste du patrimoine mondial de l'UNESCO (Organisation des Nations Unies pour l'éducation, la science et la culture).
L'Académie de Dunhuang a indiqué que les grottes et le centre d'exposition adjacent renfermaient un grand nombre de fresques, de sculptures en argile et de documents rares qui exigent des normes élevées de protection contre les incendies.
Dunhuang était une ville oasis prospère et une étape majeure sur l'historique Route de la Soie. Les fresques et les sculptures en argile dans les grottes situées près de la ville comptent parmi les pièces les mieux préservées de l'ancien art bouddhiste.

Rapport 2011 criminalité et la délinquance


La criminalité et la délinquance sont des phénomènes complexes. Infractions, victimes, auteurs, activité des services de police et des unités de gendarmerie, orientations des autorités politiques ou administratives, réformes législatives, ou encore apparition de nouvelles fragilités ou de nouveaux risques sont autant d’éléments à prendre en compte lorsqu’on cherche à mieux appréhender la réalité criminelle.


Connaître, comprendre ou analyser le crime nécessite donc d’aller au-delà d’une simple lecture administrative ou politique de quelques chiffres. Cela est d’autant plus indispensable que les données enregistrées par les services de police et les unités de gendarmerie ne reflètent qu’une partie des faits. Beaucoup restent ignorés, faute de dépôt de plainte ou en l’absence de la constatation de l’infraction. Il en est d’ailleurs de même pour la population des auteurs d’infractions qui reste limitée aux seuls individus interpellés et mis en cause.
Afin de mieux percevoir les évolutions, tant conjoncturelles que structurelles du crime, l’Observatoire national de la délinquance et des réponses pénales (ONDRP) a opté pour une approche multi-sources reposant tant sur des études quantitatives que qualitatives, notamment grâce à l'enquête nationale de victimation mise en place avec le soutien de l'INSEE depuis 2005.
Ce 7e rapport annuel prend ainsi appui sur les données extraites de toutes les sources disponibles afin d’établir un bilan aussi complet que possible qui ne cesse de s’enrichir chaque année avec de nouvelles données.Le lecteur trouvera également dans ce rapport les premiers résultats de l’enquête nationale de victimation 2011, qui feront l’objet de développements au cours de l’année, et un dossier spécial sur la cybercriminalité.

L'Union Européenne interdit les scanners corporels à rayons X



La Commission européenne a décidé qu'«afin de ne pas risquer de compromettre la santé des citoyens, seuls les scanners corporels, n'utilisant pas la technologie des rayons X sont autorisés pour le contrôle des passagers dans les aéroports de l'Union Européenne. Toutes les autres technologies, telles que celles utilisées pour les téléphones mobiles et autres, peuvent être utilisés à condition qu'elles soient conformes aux normes de sécurité de l'UE».

lundi 21 novembre 2011

Nomex® Multi Threat Protection (MTP)

Pour tout membre des forces de l’ordre évoluant dans des environnements exigeants et multi-risques, bénéficier de la meilleure protection possible grâce à des vêtements qui soient à la fois confortables, flexibles et légers, est impératif. A l’occasion du salon Milipol 2011, DuPont a 
présenté deux solutions innovantes qui répondent à ces exigences de protection, requises par les militaires et policiers en situation de combat: Nomex® Multi Threat Protection (MTP) et Kevlar® Impact Control (IC) 600D. 

dimanche 20 novembre 2011

Interception de deux go fast en Méditerranée

Deux interceptions de "go-fast", des embarcations ultra-rapides, ont été réalisées en Méditerranée la semaine dernière par la Marine nationale et la douane française. La première intervention a été effectuée sur une embarcation avec 3 personnes à bord en Méditerranée occidentale le mercredi 16 novembre. La deuxième a eu lieu le vendredi 18 en haute mer sur un go fast transportant également 3 personnes. Ces deux interceptions ont permis de réaliser une saisie totale de 35 ballots ce qui représente plus d'une tonne de drogue. 


Cette opération porte le bilan des saisies à environ 18 tonnes de drogue, un peu plus de 35 tonnes estimées avoir été rejetées à la mer et 21 go-fast appréhendés depuis 2006. Ces opérations s'inscrivent dans le cadre de la lutte contre les trafics illicites, conduites depuis 2006 par le préfet maritime de la Méditerranée, en coordination avec la douane, le centre de coordination de lutte anti-drogue de la Méditerranée ainsi que les procureurs de Toulon et de Marseille.


http://www.meretmarine.com/article.cfm?id=117863

vendredi 18 novembre 2011

Biométrie : 40 millions d'empreintes supprimées

Une décision du Conseil d'État sur le passeport biométrique oblige le ministère de l'Intérieur à les effacer.

Le passeport biométrique, qui n'a pas fini de faire parler de lui, est désormais à l'origine d'une des plus lourdes opérations de mise en conformité jamais réalisées dans un fichier administratif. En vertu d'un arrêt du Conseil d'État du 26 octobre dernier, le ministère de l'Intérieur va supprimer en effet de ses bases de données la bagatelle de quarante millions d'empreintes digitales prélevées à l'origine pour que les précieux sésames correspondent bien aux exigences européennes.
«À l'origine, l'idée était de sécuriser au maximum les nouveaux passeports, et donc l'identité même de leur détenteur, en enregistrant sur une base de données distinctes huit empreintes digitales, au lieu de deux initialement prévues, pour dissuader les faussaires éventuels de maquiller ces documents», explique Pierre-Henry Brandet, porte-parole de la Place Beauvau. «Le gouvernement aurait pu d'emblée imaginer qu'il outrepassait les directives européennes en vigueur, objecte de son côté Me Christophe Leguévaques, conseil d'un groupe de «citoyens vigilants» au nombre desquels figure Didier Cujives, le maire PS de Paulhac (Haute-Garonne). La finalité du passeport est, rappelons-le, de déterminer une identité. La collecte de données biométriques, c'est-à-dire d'éléments humains particulièrement sensibles, est strictement encadrée. Elle évite que ces informations tombent un jour entre de mauvaises mains et soient mixées à d'autres fichiers à des fins totalitaires…». Dont acte.
La récente décision du Conseil d'État valide l'idée que la base centrale recueillant les nom, prénoms, date de naissance et photographie du titulaire ne supporte sur la puce que la «signature» électronique des deux index ou, à défaut, des deux doigts présentant les meilleures empreintes.
«Conformément à la requête du Conseil d'État et aux directives européennes, nous allons donc effacer sans difficulté les empreintes collectées considérées comme superflues sur la base centrale des Titres électroniques sécurisés (TES) », observe Pierre-Henry Brandet. Selon nos informations, l'Agence nationale des titres sécurisés (ANTS) va donc s'employer à conserver dès le 1er décembre prochain les empreintes nécessaires à la mémoire administrative et évacuer les autres. «Plusieurs mois seront nécessaires pour procéder au tri, car ce dernier se fera au cas par cas pour ne retenir que les marques les plus exploitable s», concède-t-on au ministère de l'Intérieur, où l'on précise que plus de 6,3 millions de passeports biométriques ont été établis depuis 2009.

«Ni adéquates, ni pertinentes» 

Jugeant que «la collecte et la conservation d'un plus grand nombre d'empreintes digitales que celles figurant dans le composant électronique ne sont ni adéquates ni pertinentes, et apparaissent excessives au regard des finalités du traitement informatisé», le Conseil d'État avait en revanche validé la création d'un fichier central des passeports, qui permet de «s'assurer de l'absence de falsification». Les «sages» ont en outre estimé qu'il ne porte pas «une atteinte disproportionnée» au droit des individus au respect de leur vie privée, par rapport aux «buts de protection de l'ordre public en vue desquels il a été créé». Le coût moyen d'un passeport revient en fait à 68 euros.

Patron, j'ai peur !

Étude Websense sur la sécurité : le secteur informatique sous tension alors que les atteintes à la sécurité des données mettent les emplois en péril


D'après les responsables informatiques, un divorce ou la perte de leur travail suscite moins de stress que le fait de veiller sur les données d'entreprise. ;)


Garde à vue en matière de terrorisme : désignation des avocats habilités à intervenir

Le décret n° 2011-1520 du 14 novembre 2011 relatif à la désignation des avocats pour intervenir au cours de la garde à vue en matière de terrorisme détermine les conditions d'application des mesures prévues par la loi n° 2011-392 du 14 avril 2011.



10 millions de dollars pour un serious game sécuritaire

Raytheon BBN Technologies has been awarded a $10.5 million multi-year contract to develop serious games that result in better decision-making by teaching participants to recognize and mitigate the effects of their own biases when analyzing information used to make decisions.

The Intelligence Advanced Research Projects Activity (IARPA), through an Air Force Research Laboratory (AFRL) contract, has awarded Raytheon BBN Technologies a $10.5 million multi-year contract under the Sirius program. BBN is a wholly owned subsidiary of Raytheon Company. The goal of the Sirius program is to develop serious games that result in better decision-making by teaching participants to recognize and mitigate the effects of their own biases when analyzing information used to make decisions.

http://www.homelandsecuritynewswire.com/dr20111118-game-to-improve-defense-homeland-security-decision-making

Contrôle et surveillances dans le cyberespace

Contrôle et surveillances dans le cyberespace
Frédéric Ocqueteau, Daniel Ventre
La Documentation française
Problèmes politiques et sociaux n° 988Le point sur les formes de contrôle et les espaces de liberté sur internet.9,90 €

http://www.ladocumentationfrancaise.fr/catalogue/3303332109883/index.shtml

Quatre vols de deux-roues sur dix commis en IDF ou en Paca

Chaque heure, huit vols de deux-roues sont commis en France. C’est du moins ce qu’a déclaré jeudi David Tuchbant, président du groupe Identicar (gravages de véhicules et systèmes de repérage de véhicules volés), évoquant les statistiques de l’Observatoire national de la délinquance et des réponses pénales (ONDRP).

Ces deux-roues volés sont ensuite destinés à des trafics de pièces détachées pour 70% d’entre eux.D’octobre 2010 à septembre 2011, 69.655 deux-roues ont ainsi été volés, soit une baisse de 7 % par rapport à la même période 2009-2010 d’après les plaintes enregistrées par la police et la gendarmerie. L’Ile-de-France (23 %) et la région Paca (19 %) concentrent à elles-seules 42 % des vols de deux-roues. Le record est détenu par la ville de Marseille avec 4,4 vols sur 1.000 habitants. Soit deux fois plus qu’à Paris.

http://pro.news-assurances.com/blog/assurance-moto-quatre-vols-de-deux-roues-sur-dix-commis-en-idf-ou-en-paca/0169231632

Passer de l'argent liquide à la douane : 1 voyageur sur 4 avoue

Sur les 1000 internautes interrogés par le site Internet Skyscanner.fr, 28% ont reconnu être parvenu à faire passer des liquides à bord d’un avion, malgré les contrôles de sécurité à l’embarquement. Une fraude sûrement motivée par la mauvaise acceptation du règlement.

>http://www.deplacementspros.com/1-voyageur-sur-4-avoue-avoir-passe-des-liquides-au-travers-de-la-securite_a12257.html

mercredi 16 novembre 2011

Faire son constat amiable sur smartphone

Le nouveau visage de la criminalité internet

D'après Forrester, notamment dans son étude intitulée The New Threat Landscape - Proceed With Caution, les attaques identifiées cette année révèlent que le paysage de la menace informatique mute à une vitesse impressionnante et que les cybercriminels trouvent sans cesse de nouvelles manières de contourner les barrières de sécurité.

Primo, la motivation des hackers a changé.  


Secundo, la méthode de hacking aussi a évolué : désormais le piratage se fait en récoltant patiemment des informations capitales et moins avec audace.

Tertio, les victimes de piratage sont clairement ciblées, isolées et étudiées et les outils employés ne sont plus artisanals.  

Quarto, les résultats des attaques ne sont plus du tout les mêmes non plus. Du simple trouble hier, on en arrive aujourd'hui au "désastre dévastateur".

> http://www.itrnews.com/articles/125352/nouveau-visage-criminalite.html 

mardi 15 novembre 2011

Opération mains propres dans la sécurité privée

D'ici au 1er janvier prochain, des contrôleurs vont passer au crible ce secteur en pleine expansion.


Cliquez sur l'aperçu pour agrandir l'infographie.
Trop souvent décrié pour ses supposées mauvaises manières, pointé du doigt à chaque «dérapage» qui finit en drame, brocardé lorsque ses «brebis galeuses» sont épinglées dans les colonnes des faits divers, l'univers de la sécurité privée est en quête de légitimité. Depuis trente ans, ces professionnels, qui se sentent mal-aimés, n'ont pourtant pas ménagé leurs efforts pour redorer une image écornée. En 1982, les barbouzes reconvertis, gros bras organisés en milice et autres vigiles douteux avaient essuyé une tempête médiatique après le tabassage à mort d'un vagabond au Forum des Halles, à Paris. Le drame, qui avait bouleversé l'opinion, a donné lieu à une loi «antibavure» adoptée le 12 juillet 1983 et visant à encadrer de façon draconienne les activités de «surveillance, gardiennage et de transport de fonds».
Cantonné depuis lors à intervenir principalement dans les lieux privés, rayé des listes en cas de condamnation et soumis à une palanquée d'autorisations administratives, le personnel des entreprises de sécurité privée cherche toujours ses marques alors que le secteur est en pleine expansion employant désormais plus de 150.000 salariés. «Le développement de notre profession a répondu aux nouvelles formes de délinquance qui frappent notre société et au désengagement de l'État, constate Claude Tarlet, président de l'influente Union des entreprises de sécurité privée (USP). Dans ce marché qui attire de nombreux acteurs et attise parfois, les passions, les repères sont devenus indispensables. Alors que la loi qui nous encadre n'est plus adaptée, il nous faut faire preuve d'une nouvelle maturité, en offrant nous-mêmes des garanties de transparence et d'éthique, en acceptant d'être contrôlés...»

Le grand ménage

Cette volonté de faire le grand ménage dans un épais maquis de sociétés pas toujours déclarées, ou gérées en sous-main par les épouses d'anciens cadres mis sur la touche pour malversation, rejoint celle des pouvoirs publics. Afin de promouvoir ensuite sa stratégie d'«œuvre de sécurité» entre le public et le privé, Claude Guéant, le ministre de l'Intérieur, entend le premier assainir le milieu. «Parallèlement à son action régalienne, l'État œuvre aussi pour la sécurité en encourageant l'ensemble de la société, élus, citoyens ou entreprises, à s'investir à ses côtés, précise l'hôte de la Place Beauvau. Pour être ressentie par tous, la sécurité doit être l'affaire de tous.» L'opération «mains propres» programmée s'inscrit dans le droit fil de la loi sur la sécurité intérieure (Loppsi II) votée au printemps dernier. Elle sera déclenchée dès la publication d'un décret, d'ici à la fin de l'année, qui rendra opérationnel un inédit Conseil national des activités privées de sécurité (Cnaps). Établissement public qui emploiera quelque 200 experts placés sous la direction générale du préfet Jean-Yves Latournerie, il réunira des policiers, des gendarmes, mais aussi d'importants acteurs privés spécialisés dans la sûreté des aéroports, la surveillance humaine, les transports de fonds ou encore les agences de détectives privés. «Organisme de régulation et de représentation, le conseil marque enfin le passage de la sécurité privée à l'âge adulte, avec les responsabilités et les devoirs que cela impose», considère le criminologue Alain Bauer , président de la mission de préfiguration du Cnaps.
Dès le 1er janvier 2012, région par région, zones de défense par zone de défense, les contrôleurs dûment formés par le Cnaps vont descendre sur le terrain et dans chaque entreprise pour vérifier notamment la validité des cartes professionnelles et des certificats de compétence, s'assurer que l'évolution du chiffre d'affaires correspond bien à l'état des effectifs, débusquer les profils présentant un passé un brin trop chargé… «Nous allons multiplier les diagnostics pour éradiquer les structures douteuses, a prévenu Jean-Yves Latournerie. Quand les bilans seront bons, les commissions régionales d'agrément et de contrôle pourront délivrer de nouveaux agréments…» Dans le cas contraire, les sanctions iront du blâme à l'interdiction temporaire d'exercer, synonyme d'une mort certaine pour nombre de microentreprises prospérant en marge de la légalité.
Considérant la moralisation du secteur comme un «enjeu de société dans le paysage de la sécurité en France pour les dix ans qui viennent», le préfet Jean-Louis Blanchou, délégué interministériel à la sécurité privée, pense déjà aller plus loin. Notamment en rénovant en profondeur le texte obsolète de 1983, dans l'espoir d'enfin passer d'une «loi de défiance à une loi de confiance». L'enjeu est de taille: le marché représente un chiffre d'affaires de 5,3 milliards d'euros hors taxes.

Trois questions à Jean-Emmanuel Derny

Président du syndicat national des agents de recherches privées
Quelles sont les dérives qui menacent le métier de détective?
D'abord, un certain nombre de faux détectives font de la publicité sur Internet et demandent jusqu'à 5000 euros pour mener des investigations fantaisistes. Avec la crise, de plus en plus de chômeurs aux abois s'improvisent aujourd'hui enquêteurs. Ces dangereux amateurs font des filatures et violent la vie privée au mépris de toutes les règles régissant la profession. Ceux qui grenouillent dans le milieu se font repérer tôt ou tard, comme ce vendeur de fromages à la coupe qui avait ouvert une agence dans le Midi en se faisant passer pour un ancien des services secrets. Par ailleurs, trop de détectives travaillant «à l'ancienne», faisant fi notamment du secret des correspondances, figurent encore parmi les 900 agents de recherche en activité en France. Les dérapages de ces «charlatans agréés» abusant de clients en détresse rejaillissent sur toute la corporation.
Comment les «privés» vont réagir aux nouveaux contrôles?
Bien, même si le milieu est composé de professionnels atypiques et solitaires. Notre quotidien, où il faut beaucoup marcher et écrire, faire des photos comme piloter des motos, est déjà assez dur, mais les vérifications permettront d'assainir le milieu. Ceux qui risquent d'être en indélicatesse sont déjà en train de ruer dans les brancards, mais personne ne pourra s'y soustraire…
Vous réfléchissez à un code de déontologie?
C'est indispensable! Il faut rappeler le respect des lois, la protection des clients par des contrats clairs et obligatoirement écrits, la justification des factures par des rapports circonstanciés… Quand un agent de recherches fait appel à un sous-traitant, il faut s'assurer que ce dernier est, lui aussi, agréé. Il est intolérable que certains recrutent comme «auxiliaires» des chauffeurs de taxi ou des clochards pour quelques billets de 10 euros.

Aux Etats-Unis, la baisse du prix de la cocaïne réduit la criminalité

lundi 14 novembre 2011

Recrudescence du détournement de fret par usurpation d'identité

A l'occasion de la conférence organisée par Teleroute (voir ci-dessus), plusieurs enquêtes concernant les vols de fret ont été présentées. « Nous observons depuis 4-5 ans, une recrudescence du détournement de marchandises par usurpation d'identité via les bourses de fret », introduit Patrice Bouvet, ancien gendarme et expert auprès des transporteurs et des compagnies d'assurance, qui ajoute que « les principaux pays d'origine des escrocs sont l'Italie, la Suisse, l'Allemagne et la Hongrie ».

Phénomène confirmé par l'OCLDI (Office Central de Lutte contre la Délinquance Itinérante) qui constate que « les malfaiteurs usurpent l'identité de sociétés de transport, principalement italiennes ou slovaques, disposant d'un compte dans une bourse de fret. Ils utilisent le code d'accès de ces sociétés afin de pouvoir souscrire aux appels d'offres en ligne et se voir confier à ce titre le transport de marchandises. Ils adressent les documents nécessaires (inscription au registre du commerce, licence de transport, attestation d'assurance) à la victime, avec laquelle ils prennent contact par téléphone afin d'arrêter les modalités de la livraison.

Une fois l'affrètement confirmé par la victime, le chargement est réalisé normalement mais la marchandise n'est en fait jamais livrée à la destination prévue. Dès lors, le prétendu transporteur ne répond plus au téléphone ». Il est donc recommandé de refuser les numéros de portable comme seules coordonnées et de vérifier que le numéro de téléphone et de fax du prétendu transporteur correspond à celui qui figure sur les annuaires téléphoniques officiels. L'OCLDI préconise en cas de discordance de s'adresser sans délai à l'unité de gendarmerie ou au service de police le plus proche. JF
Photo : Patrice Bouvet, ancien gendarme et expert auprès des transporteurs et des compagnies d'assurance ©JF

Première expérimentation de contrôle d’accès via des Smartphones NFC universitaires dotés de clés numériques

Les étudiants de l’Université de l’Arizona (USA) sont les premiers à utiliser des téléphones cellulaires NFC en guise de clés.

HID Global, le leader des solutions d’identité sécurisée, a fait un bond en avant dans le domaine de l’accès mobile sécurisé. Le test, récemment réalisé à l’ASU (Arizona State University), pourrait conduire à l’utilisation généralisée de Smartphones NFC pour l’ouverture des portes des universités et autres campus.

Le campus de l’ASU héberge environ 13 000 étudiants répartis dans 34 résidences. Depuis six ans, les étudiants utilisent déjà des cartes d’identité sans contact délivrées par l’Université pour l’accès à la résidence. Grâce au pilote de HID, une nouvelle étape vient d’être franchie dans l’accession sécurisée aux bâtiments, via l’utilisation de Smartphones dotés du protocole NFC pour une communication sans fil à courte distance.

Pour ce projet test, HID Global a déployé des lecteurs iCLASS SE sur les portes sécurisées de la résidence Palo Verde Main de l’Arizona State University. Des serrures électromécaniques de dernière génération, de la série Sargent Profile de ASSA ABLOY, ont été installées sur les portes des chambres de certains étudiants.

Des Smartphones NFC, parmi les modèles les plus utilisés, ont été dotés de la toute dernière solution iCLASS SE, connectés aux principaux réseaux mobiles et remis aux participants au test. Le téléphone de certains étudiants comportait en plus une clé numérique et un code PIN ouvrant leur porte de chambre. Pour accéder à une salle ou un bâtiment, l’utilisateur présentait son téléphone au lecteur de la porte, exactement comme il le faisait avec sa Sun Card, elle-même équipée des identifiants de campus iCLASS. Afin de faciliter l’administration du système de contrôle d’accès, la technologie permet également la fourniture et la gestion hertziennes des clés numériques.

32 personnes ont participé au test et les retours ont été très positifs. 80 % des utilisateurs ont indiqué qu’il était aussi facile d’utiliser un téléphone mobile qu’une carte d’identité universitaire pour ouvrir une porte. Et 90 % ont souligné qu’ils apprécieraient pouvoir ouvrir toutes les portes du campus avec leur Smartphone. Bien que le pilote ait été focalisé sur le contrôle d’accès physique, pratiquement tous les participants auraient aimé utiliser leur téléphone pour d’autres applications universitaires, notamment l’accès au centre de détente, le règlement du prix du transport, les achats de repas, de tickets et de marchandises.

« Au-delà du paiement sans contact, ce projet met en avant les possibilités offertes par la NFC dans des applications de contrôle d’accès physique nouvelles et complémentaires. » souligne Denis Hébert, Président et CEO de HID Global. « L’Université de l’Arizona est un organisme leader en matière d’innovation et également un utilisateur de longue date de la technologie iCLASS. Aujourd’hui, l’ASU nous a aidés à confirmer que mobilité et sécurité du contrôle d’accès vont parfaitement de paire ; et ce, tout en améliorant le confort des utilisateurs par un déploiement, une gestion et un transport aisés des clés. Grâce à cette technologie, toute porte nécessitant une clé ou une Sun Card peut désormais être ouverte par un téléphone. »

« J’ai mesuré les avantages de cette technologie pour le campus de l’Université dès sa première présentation » précise Laura Ploughe, Directrice des applications commerciales et de contrôle fiscal, Services Commerciaux de l’Université. « Les téléphones mobiles sont au cœur du campus et ils jouent un rôle majeur dans la vie sociale des étudiants. Le projet HID a prouvé qu’un dispositif omniprésent comme le Smartphone peut faire converger les identifiants d’identité sécurisée et le contrôle d’accès physique. Il a permis de valider les possibilités de la NFC dans un environnement tel que le campus universitaire. Nous avons été impressionnés de la facilité avec laquelle les identifiants des Sun Cards ont été portés sur les Smartphones NFC, de même que de la sécurité accrue délivrée par la toute nouvelle génération de système de contrôle d’accès avancé. »

La sécurité bien expliquée aux personnes âgées

L a gendarmerie du canton, sous la houlette du chef Dominique Roca accompagné du chef Lucion, gendarme réserviste et référent pour les villages de Leucate, Port- La Nouvelle, est venue au foyer municipal pour donner une conférence-débat sur le thème : "Seniors, pour votre sécurité ayez les bons réflexes".



Il s'agit de gestes simples, comme garder le contact avec des personnes qui pourraient vous aider en cas de difficulté, penser à garder à proximité de votre téléphone les nos utiles ; la nuit, un téléphone installé près de votre lit vous évitera des déplacements inutiles, de même, une lampe de poche.

Ensuite, se protéger des cambriolages, commence par une bonne protection de votre domicile. Savoir utiliser efficacement les équipements de protection, évitez de laisser traîner à l'extérieur et à proximité échelles, outils échafaudages, ne jamais laisser les clés sous un pot de fleurs, dans la boîte aux lettres ou encore sous le paillasson. L'absence de renseignements sur les boîtes aux lettres handicape les malfaiteurs : n'y mettez que votre nom. Dans le cadre des opérations "tranquillité vacances", vous pouvez signaler votre absence au commissariat ou à la gendarmerie, qui effectueront des patrouilles pour surveiller votre domicile.

En cas de cambriolage : ne touchez à rien, prévenez immédiatement les autorités (gendarmerie, commissariat). Déposez plainte faites opposition auprès de votre banque pour les chéquiers et cartes bancaires, penser à déclarer le vol à votre assureur.. Pour se prémunir contre le vol à la fausse qualité, demandez toujours à voir la carte ou le document officiel justifiant la présence de la personne. Face à internet, protégez votre ordinateur par un antivirus, un pare-feu. Réalisez vos achats sur des sites de confiance . Ne donnez pas vos identifiants de compte et de connexion. En cas d'escroquerie, avisez tout de suite votre banque puis déposez plainte auprès des autorités.

Soyez vigilant lorsque vous utilisez votre téléphone portable. Faites-vous accompagner si vous devez retirer une grosse somme d'argent à la poste ou la banque . Si vous retirez de l'argent au distributeur, ne vous laissez pas distraire. Ne portez jamais sur vous le code bancaire de votre carte, si votre carte est "avalée" attendez quelques instants pour être sûr qu'elle ne ressorte pas, conservez sur vous le nO d'appel du centre d'opposition des cartes bancaires.

En cas d'agression, n'opposer aucune résistance, votre vie est le plus précieux des biens . Lors d'un vol à l'arraché, ne tentez pas de retenir le voleur ; vous risquez une chute ; appelez, criez au secours pour attirer l'attention ; appelez immédiatement le 17 ou le 112.

> http://www.midilibre.fr/2011/11/14/la-securite-bien-expliquee-aux-personnes-agees,416969.php

Transport scolaire : des brassards pour prendre le car

Partant du constat que bon nombre d'élèves sont peu visibles, le soir ou le matin, et surtout en hiver, lorsqu'ils empruntent les transports scolaires, le conseil municipal a décidé d'offrir un brassard jaune de sécurité routière à chaque élève saint-martinois.

Ces brassards leur ont été remis mercredi dernier, dans la salle des fêtes, en présence de leurs parents, de M. David, représentant Axa et de M. Gallego, représentant Aviva, qui ont financé le projet. Était là, également, Mme Derramond, directrice de la sécurité routière.

Écoliers, collégiens et lycéens, ce sont 90 enfants qui empruntent chaque jour les transports scolaires dans la commune.

> http://www.lindependant.fr/2011/11/14/securite-routiere-des-brassards-pour-prendre-le-car,84263.php

Le programme Pre-check va être étendu

Très décriée par les voyageurs, la TSA tente différentes expériences pour rendre les contrôles de sécurité moins fastidieux et surtout moins longs. Depuis octobre, elle testait ainsi un programme réservé aux passagers fréquents : le Pre-Check. En échange de données personnelles communiquées au préalable à l’organisation chargée de la sécurité des transports américains, ils peuvent passer les contrôles de sécurité plus facilement. Devant la réussite de la mesure, d'autres aéroports rejoignent le dispositif.



Testé depuis le 4 octobre dans quatre aéroports américains, le programme Pre-check va être étendu. Satisfaite des premiers résultats, la TSA a annoncé le 9 novembre qu’elle comptait développer le programme à Las Vegas en décembre ou encore à Los Angeles et Minneapolis-St. Paul à partir de début 2012. Il est prévu que le Pre-check se déploie progressivement dans le pays tout au long de l'année prochaine. Pour le moment, seules les lignes domestiques sont concernées par le dispositif, mais déjà 45 000 passagers utilisent régulièrement le service depuis octobre. Ils ont ainsi pu profiter d’une file particulière aux différents contrôles de sécurité mais également de la possibilité de ne pas enlever leurs chaussures.

samedi 12 novembre 2011

France : 4 et 6% des documents d'identité sont des faux

uvrir un compte en banque, obtenir des prestations sociales...Des démarches administratives banales qui sont pourtant au cœur d'un grand système de fraude : la criminalité identitaire. Selon des experts européens de la fraude identitaire, réunis en colloque à Marseille mercredi et jeudi, entre 4 et 6% des documents d'identité présentés sont des faux en France. Chaque année "quelque 213.00 infractions liées à la criminalité identitaire sont constatées", explique à l'AFP Christophe Naudin, de l'université Paris-II Panthéon-Assas, spécialisé dans la criminalité identitaire,"ce qui en fait la troisième infraction" derrière la criminalité liée à l'automobile et les cambriolages.
Des infractions qui ont explosé ces dix dernières années. Elles représenteraient près de 20 milliards d'euros de préjudice rien que pour la fraude sociale selon le Reso-Club, association française de prévention des fraudes à l'origine de la tenue du colloque, qui regroupe banques, entreprises et administration. Dans 49% des cas, ce sont des identités fictives qui sont utilisées.  Les substitutions - les personnes "louent" leur carte d'identité ou autre - représentent 20% des fraudes tandis que dans 30%, il s'agit d'usurpations d'identité, qui sont les plus longues à effacer. L'infraction la plus grave, le vol d'identité, intervient dans 1% des cas.
Mais les fraudeurs ne sont souvent condamnés qu'à quelques mois de prison avec sursis.  "Les faux documents étant généralement utilisés en vue de commettre d'autres forfaits - des escroqueries souvent - nous avons peu de visibilité sur cette fraude", analyse Christian Jacquier, président du Reso-Club pour l'AFP. Car le France, pays de droit latin, privilégie toujours l'infraction la plus importante. Selon lui, l'Union européenne doit "harmoniser ses politiques pénales" pour une lutte plus efficace. Au niveau mondial, l'Onu a calculé que la fraude identitaire représentait un coût de 7.600 milliards de dollars chaque année.

 

jeudi 10 novembre 2011

Protection de l’identité : les observations de la Cnil


Publié le 10.11.2011
Dans le cadre du débat parlementaire concernant la proposition de loi relative à la protection de l’identité, la Commission nationale de l’informatique et des libertés (Cnil) a fait connaître son analyse en publiant en ligne une note d’observations sur le sujet.
Après avoir défini en quoi consistent les données biométriques et les modalités d’utilisation de la biométrie au niveau des titres d’identité, la Cnil donne son avis sur l’application de ces principes dans le cadre de cette proposition de loi. La Cnil fait porter ses observations sur les 4 points suivants :
  • légitimité de la délivrance de titres biométriques (mise en place de garanties complémentaires avec, par exemple, un âge minimal de collecte des identifiants biométriques),
  • création de la base de données biométriques (limitation du nombre d’empreintes digitales enregistrées dans la base centrale, absence de lien entre les données biométriques enregistrées dans le traitement central et les données d’état civil, interdiction de procéder à des recherches d’identification sur la base des éléments biométriques enregistrés dans la base),
  • possibilité de mettre en oeuvre des dispositifs de reconnaissance faciale (réserves sur la possibilité de recourir à des fonctionnalités d’identification des personnes à partir de l’analyse biométrique de la morphologie de leur visage),
  • fonctions électroniques de la carte nationale d’identité (caractère non obligatoire de ces fonctions, consentement des personnes au traitement de leurs données à des fins d’utilisations de téléservices).
La proposition de loi relative à la protection de l’identité prévoit la mise en place d’un nouveau type de carte d’identité pouvant intégrer 2 types de puces électroniques (une 1ère puce, obligatoire, contenant les données d’identité et les données biométriques et une 2nde, facultative, destinée à faciliter l’usage de services en ligne avec notamment la mise en œuvre de la signature électronique).

Les 10 métiers les plus risqués aux US. Et en France ?

  1. Fishermen (116.0) — In late June, two people died when a 20-foot fishing boat capsizednear the top of Alaska’s panhandle. A third person was able to climb on top of the overturned skiff where he waited for rescue. As the BLS states, “this occupation is characterized by strenuous work, long hours, seasonal employment, and some of the most hazardous conditions in the workforce.”
  2. Logging workers (91.9) — This occupation repeatedly takes a spot in the top 10 as not only one of America’s, but the world’s, most dangerous jobs. In one recent example, 61-year-old John Hutt, a Colorado logger, cut off his toes after he became trapped under heavy logging equipment. He then drove himself to an area where there was enough cellphone reception to call an ambulance. In the logging industry, he is considered one of the lucky ones.
  3. Airplane pilots and flight engineers (70.6) — It may be hard to believe that working as a police officer is safer than flying a plane, but according to the BLS, this is true. The bureau states that there were 78 fatal work injuries for this industry in 2010.
  4. Farmers and ranchers (41.4) — In August, a 40-year-old Illinois farmer was crushed to death by his tractor after it fell into a hole on his farm, which he was filling with dirt. And just this month a woman was hit and run over by a skid loader on a farm in Wisconsin. She was pronounced dead on the scene.
  5. Mining machine operators (38.7) — The most infamous accident within this industry is undoubtedly the Upper Big Branch Mine explosion in April of 2010, which claimed the lives of 29 out of the 31 miners on site. The accident was the worst in the United States since 1970, when 38 minters were killed at Finley Coal Company’s mines in Kentucky.
  6. Roofers (32.4) — Just three weeks ago, four roofers in San Francisco were seriously injured when the roof of a six-story apartment complex collapsed under them. And in April, a 56-year-old worker was re-securing metal roof panels on a building at Horenberger Field at Illinois Wesleyan University when he fell from scaffolding. He died in the hospital eight days later and his employer, Union Roofing, was cited by OSHA for two safety violations.
  7. Sanitation workers (29.8) — A tragic accident occurred on Labor Day when a 17-year-old sanitation employee fell off of a moving garbage truck and was run over, killing him instantly.
  8. Truck drivers and delivery workers (21.8) — In March of last year, a commercial truck driver was using his cellphone to make a call when his truck crossed the median in central Kentucky, striking a van that was carrying 12 members of a family. 10 people in the van plus the truck driver were killed. Just this week, the U.S. National Transportation Safety Board, concluding its investigation of the crash, recommended banning the use of mobile phones by commercial drivers except in emergencies.
  9. Industrial machine workers (20.3) — The number of accidents in this field is staggering. In January 2010, a Florida man had his genitals severed off after an accident involving machinery at an Future Foam Carpet Cushion in Orlando. The company was was fined $42,500 by OSHA for 10 serious safety violations.
  10. Police officers (18.0) — In 2010, there was a nearly 40% increase in line-of-duty deaths among U.S. law enforcement. The most recent officer death involved Deputy Sheriff Derrick Whittle of the Union County, Georgia, Sheriff’s Office. He was killed in an automobile accident while responding to a call on September 18th. He is the 48th law enforcement officer to be killed in a traffic-related incident in 2011.


mercredi 9 novembre 2011

Prévenir le vol de son scooter, méthode sécurité

– bloquez la direction ;
– attachez votre scooter à un élément fixe (poteau, lampadaire etc.) et par la roue arrière ;
– utilisez un antivol de préférence en forme de U ;
– garez votre scooter de préférence dans un local fermé, à défaut dans un endroit lumineux et fréquenté.





mardi 8 novembre 2011

Document statistique sur la criminalité à la Cour d’assises de l’Isère de 1811 à 1946

Créée en 1808 mais fonctionnelle uniquement à partir de 1811, le ressort de la Cour d’assises de l’Isère couvre la criminalité des départements de l’Isère, de la Drôme, des Hautes-Alpes et du Mont-Blanc (actuels départements de Savoie et de Haute-Savoie). Le graphique qui suit n’est pas d’une lecture évidente. Il demande quelques éclaircissements.






http://flanerie.hypotheses.org/144

lundi 7 novembre 2011

zones à régime restrictif

L'article 413-7 du Code pénal dispose qu'est puni de six mois d'emprisonnement et de 7 500 euros d'amende le fait, dans les services, établissements ou entreprises, publics ou privés, intéressant la défense nationale, de s'introduire, sans autorisation, à l'intérieur des locaux et terrains clos dans lesquels la libre circulation est interdite et qui sont délimités pour assurer la protection des installations, du matériel ou du secret des recherches, études ou fabrications ; il prévoit également qu'un décret en Conseil d'État détermine, d'une part, les conditions dans lesquelles il est procédé à la délimitation des locaux et terrains visés à l'alinéa précédent et, d'autre part, les conditions dans lesquelles les autorisations d'y pénétrer peuvent être délivrées.
Sur le fondement de ce texte, le décret n° 2011-1425 du 2 novembre 2011 relatif à la protection du potentiel scientifique et technique de la nation institue une catégorie particulière de zones protégées, les "zones à régime restrictif" (C. pén., art. R. 413-5-1). Il définit les modalités de concertation entre les chefs de service, établissements ou entreprises et les pouvoirs publics.
Ce décret entre en vigueur le lendemain de sa publication.
Un arrêté non publié du Premier ministre détermine, au sein des secteurs scientifiques et techniques concernés, la liste des spécialités dont les savoir-faire sont susceptibles d'être détournés à des fins de terrorisme ou de prolifération d'armes de destruction massive et de leurs vecteurs.


Source
D. n° 2011-1425, 2 nov. 2011 : JO 4 nov. 2011, p. 18562

dimanche 6 novembre 2011

Satimo cherche à mieux détecter les bombes humaines

La filiale de Microwave Vision coordonne un nouveau projet de recherche visant à créer un système de détection des explosifs susceptibles d'être implantés directement dans le corps humain. Il sera basé sur des technologies radiofréquences, déjà maîtrisées dans les secteurs médicaux ou industriels.
La "bombe humaine", les professionnels de la sécurité dans les aéroports s'y préparent... Ils redoutent que des implants, par exemple des prothèses mammaires en silicone, ne soient un jour remplacés par des explosifs. Mais de nouvelles technologies sont à l'étude afin de parer à cette éventualité. Satimo, filiale du groupe Microwave Vision spécialisée dans les scanners à balayage électronique multi-capteurs, vient ainsi de s'associer à plusieurs centres de recherche pour mettre au point un dispositif basé sur des technologies de radiofréquence capable de détecter "des explosifs implantés directement dans le corps humain sans dévoiler l’anatomie intime des passagers."

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